Les
Cosaques
Nous aimons vivre au fond des bois
Aller coucher sur la
dure
La forêt nous dit de ses mille voix | (bis)
Lances-toi dans la
grande aventure |Nous aimons vivre sur
nos chevaux
Dans les plaines du Caucase
Emporté par le rapide galop
| (bis)
Nous allons plus vite que pégase |
Nous
aimons vivre auprès du feu
Et chanter sous les étoiles
La
nuit claire nous dit de ses mille feux | (bis)
Sois gai lorsque le ciel est
sans voile |
Souvenirs
qui passent
Souvenirs qui passent,
La
vielle caserne oubliée,
Le camp la remplace,
Avec ses feux à
la veillée.
Dans la brume grise,
La sentinelle demeure.
Oui, oui,
oui...
La sentinelle demeure.
Amis
il faut que nous marchions,
Plus loin, toujours plus loin.
Le soleil dore
sur les moissons bercées,
Par le vent de juin, le vent de juin
En
avant serrons les rangs,
Que retentisse un chant, oui,
Un chant de guerre
et de victoire
Qui monte plein d'espoir
Avançons
sans répit,
Dans le vent sous la pluie
La chanson sur les lèvres
Calme
la fièvre.
Si le sac et trop
lourd,
Si les membres sont gourds,
Serrons les dents les gars,
Et à
Dieu va.
Après la bataille inhumaine
(bis)
Vient un long repos (bis)
Secoue ta peine (bis)
Pavillon haut (bis)
Eugènie
Eugènie
les larmes aux yeux
Nous venons te dire adieu
Nous partons de bon matin
Par
un ciel des plus serein
Nous partons
pour le Mexique
Nous partons la voile au vent
Adieu donc belle Eugènie
Nous
reviendrons dans un an
Ça n'est
pas commun du tout
Que de penser à l'amour
Surtout quand il fait
grand vent
Par-dessus l' gaillard avant








